Pas à pas s’avance un poème
Grandissant au rythme des voix
Qui font sourire la bohème
Car tout un chant s’entend se voit »
« Nuit féconde pour les amours
Tu casses distance aux chemins
Là où ils croisent les parcours
Dans le doux partage des mains
Car est-ce jeu ? Est-ce théâtre ?
Les mots entrent en ritournelle
Et envoient valser les palabres
Pour voler trente six chandelles
A ces insoumis de l’époque
Qu’ils accompagnent - créant
Et réinventant tout le socle
Des désirs en leur mouvement
Là sur le sol où les oracles
Et toutes les ruses d’Eros
S’évanouissent en miracles
De beaux airs que Hasard exauce »
« Pendant que s’estompe l’obscur
Les yeux dans les yeux rééclairent
Le temps enfoui sous l’épure
D’un partage instruit en éclairs
Nous serions mille et mille en joie
Faisant tant vibrer ville et champs
Que la vitesse en perd sa voie
Devant la haine s’asséchant
Joie - espoir : voir les différences
Enrichies par les attractions
Qui - enseignant le souffle - »
« lancent
Les plus souveraines passions »
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