Je me glisse discrètement derrière ma plume.
Elle butine le monde,
De mon regard de troubadour,
Pour le régaler
De l’innocence perdue.
Elle dévoile les êtres
Dans leur vérité nue.
Mes doigts ont l’œil juste et charitable.
Comme une promenade farouche, »
« Cette musique m’escortera,
Jusqu’au bout de ma vie.
Voletant,
Le temps d’un bonheur,
Avec allégresse et douceur.
Cette toile
Couchée,
Candide,
Rougit mes joues,
Sans honte.
Elle fredonne
Ma mélancolie des joies d’aujourd’hui.
Entre ses bras,
Je roucoule
Comme
L’envol amoureux d’un duo de tourterelles »
« Sous l’azur
D’un firmament plombé de mon beau village.
Et
Si
En cette aube glacée
Du troisième millénaire,
Les arbres de ma bourgade
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