Parfois, quand je retourne en arrière, dans la boue du passé, une réalité incontournable s’impose à moi. Que je le veuille ou non, ce passé est inscrit dans le livre de mon histoire. Les pages qui le composent en feront toujours partie. Inutile de les tourner ou même de les arracher. Elles restent là, imprimées en moi. Je demeure en quelque sorte prisonnier du passé.
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